J’imagine un jardin d’Eden
Sans peine installé sur une île
Par un dieu à la peau d’ébène
Caressant des vierges nubiles
J’entends la désapprobation
Murmurer en marée montante
Ah ! La lutte est bien de saison
Ô vierges que l’islam enfante
Révoltez-vous le paradis
Est bien là où la chair est faible
Il est là pour la femme aussi
Rêvez-vous de jeunes éphèbes ?
Où de vieux barbeaux décatis
Cela ne regarde que vous
Laissez refleurir vos nombrils
Le noir ne vous sied pas beaucoup
Le noir est bon pour les corbeaux
Les curés et les corbillards
Ne laissez pas ces charognards
Toucher la peau de vos corps beaux
Jouissez de vos envies d’espace
Le monde n’est pas grillagé
Et si Allah prend trop de place
Vous pouvez toujours l’oublier
Ton corps est un jardin d’Eden
Mystère comme l’île à l’abord
Avant que le désir t’emmène
A dévoiler tous ses trésors
Comme c'est beau et vrai !...chris
RépondreSupprimer