L’oiseau blanc du brouillard
A surgi face à face
A gravé ma mémoire
Avec son bec de glace
Puis il est reparti
En me laissant sans voix
Et sans plus d’appétit
L’esprit et le corps froid
Ma tête est douloureuse
Secouée comme un shaker
Dedans la vie la peur
Toutes mes amoureuses
Et mon verre s’embue
Sur le comptoir d’inox
Dehors le cocktail tue
La mer frappe on the rocks
Joli et triste comme la tempête, j'aime aussi les précédents mais moins...chris
RépondreSupprimer