Je sais que des statues de pierre
Sont plantées là-bas quelque part
Sur une autre île et leur regard
Se perd à l’horizon mystère
Ce regard est celui des pierres
Leurs larmes salées et lointaines
Sont les mêmes qu'ils soient dolmens
Ou nymphes dressées à Cythère
Aujourd’hui les regards brûlés
De chagrin alors inconnu
Face burinée aux yeux nus
Sont taris pour l’éternité
Car d’avoir tant pleuré hier
A voir nos crimes sans remord
D’ouvrir la boîte de Pandore
Que leurs pleurs nous ont fait la mer
L’humain n’est qu’une frustration
Le son des pierres l'exaspère
Qui résonne dans sa raison
Le glas de sa vie éphémère
Sublime ! Sublissime...j'hésite entre les deux...J'ADORE ! Chris
RépondreSupprimer