Gargantua gara sa glotte
A la gargote de Ouessant
Mais en repartant dans sa barque
Laissa la marque de ses dents
Croquant l’île vers le Ponant
Et puis adieu l’armoricaine
Lui si puissant parmi les forts
Eut pourtant l’estomac en peine
Quand vers le sud porta le vent
D’une main arrêta Eole
Haut le cœur sans le moindre effort
Il vomit la baie de Lampaul
Non loin des cotes ibériennes
En donnant naissance aux Açores
Tout ça à cause du chouchen
Quand la poésie peut être drôle...ou comment expliquer la Nature....Chris
RépondreSupprimer