Il est vrai que souvent une île est trop petite
Pour y loger bagages les sacs et leurs porteurs
Que les hommes promènent autour d’eux en orbite
Il n’y a de la place que pour les vraies valeurs
L’air la mer et le ciel au voyage t’invitent
A découvrir ta vie apprivoiser ton cœur
Tu n’auras pour ce faire en guise de limites
Que celles des nuages où s’amassent tes peurs
Sans bouger tel un roc ou une stalactite
Ou statue de Rodin que l’on dirait penseur
Tu traverses l’espace sur un météorite
Aux aurores boréales tu cueilles quelques fleurs
Superbe du début à la fin, j'aime beaucoup la chute...li-lou
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