J’ai piqué du nez dans la mer
Percé un trou dans l’océan
Tout ça pour un éclair d’argent
Qui laisse au bec un goût amer
Me voilà pauvre goéland
Coupable mais que puis-je y faire
D’avoir adoré la sardine
D’avoir apprécié le hareng
Je ne suis que bouc émissaire
La mer ne veut pas de rustine
Mais là-haut tout au bout de l’air
Il reste ouvert un trou béant
Bien tourné...joliment dit...Li-lou
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