Naïades et Néréides montrent leur dos fin à la lame
M’offrent une écaille plongent à la baille
Et jouent avec les lamantins
Des jeux qui n’ont rien d’enfantin
Naïades et Néréides montrent leur dos fin à la vague
Moi j’attends que le temps s’en aille
Comme les dames d’Amsterdam
La sirène de Copenhague
Naïade et Néréides jettent leur bouclier des reins
Caressent carène et poitrail
Déraille je vois passer l’étreinte
Comme le penseur de Rodin
Superbe ! Li-lou
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